(String: <p style="text-align: justify;">Un post-mortem intervient en général, comme son nom l’indique, après un incident, qu’il s’agisse d’une indisponibilité de service ou de l'échec d’une opération planifiée par exemple. Le post-mortem est une pratique qui a pour but de vous aider à apprendre de vos erreurs dans une optique d’amélioration continue.</p>)
Un post-mortem intervient en général, comme son nom l’indique, après un incident, qu’il s’agisse d’une indisponibilité de service ou de l'échec d’une opération planifiée par exemple. Le post-mortem est une pratique qui a pour but de vous aider à apprendre de vos erreurs dans une optique d’amélioration continue.
Les promesses du Platform engineering sont nombreuses et alléchantes : un socle plate-forme utilisable par l’ensemble des développeurs, une meilleure productivité, une rationalisation des outils et des processus de delivery plus fluides et des « produits » à meilleure valeur ajoutée commerciale. Mais comment mettre en place cette nouvelle plateforme sans perturber le run de l’entreprise et mettre en péril l’existant ?
Platform engineering : optimiser la productivité des développeurs
Ces dernières années, la transformation digitale des entreprises s'est accélérée entraînant une généralisation du cloud dans la plupart des entreprises. Cette évolution s’accompagne de nouveaux défis : sécurité, IA, standardisation, mais aussi gestion des talents. Selon Gartner, d’ici à 2026, 80 % des entreprises d’ingénierie logicielle mettront en place des équipes de plateforme en tant que fournisseurs internes de services, de composants et d’outils réutilisables pour la distribution d’applications. Quid de ce qui se cache réellement derrière le platform engineering ?